vendredi 23 août 2013

Lost Planet 3 [XGD3,LT3.0]


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Éditeur : Capcom
Type : Action
Date de sortie Française : 30 août 2013
Particulièrement discret depuis son annonce il y un an, Lost Planet 3 ne semble pas faire partie des priorités de Capcom. A l'heure où communiquer massivement autour d'un titre reste le moyen le plus sûr pour éviter que les joueurs ne passent pas à côté de celui-ci, l'absence du jeu dans les médias a de quoi surprendre et inquiéter. Il était donc grand temps de déterrer la bête et de nous l'exposer, à quelques mois de son arrivée sur le marché. Ce fut chose faite il y a peu, avec une présentation relativement complète du solo et du multi de Lost Planet 3.

Lost Planet 3

Commençons par rappeler que Lost Planet 3 se déroule avant les événements des deux premiers épisodes. L'histoire conte les aventures de Jim Peyton, un homme qui décide de partir sur la planète E.D.N. III afin de travailler dans le seul but - très noble - de mettre financièrement sa famille à l'abri du besoin. Son job consiste à extraire de la thermo-énergie pour le compte de la mystérieuse société NEVEC (ou Neo Venus Construction) que les amateurs de la série connaissent bien. Une tâche peu évidente en raison du climat glacial qui règne sur place et de la présence d'Akrids, des bestioles pour le moins agressives. Après un deuxième volet entièrement tourné vers la coopération entre joueurs, Lost Planet 3 revient à une formule classique où la narration occupe une place prépondérante au sein de l'expérience.


Le jeu cherche tout de suite à faire ressentir à quel point la planète sur laquelle débarque Jim est hostile. Les premiers pas dans l'aventure sont donc volontairement laborieux. Bras levé devant son visage, notre héros tente de se frayer un chemin dans la neige, tout en se protégeant de la violente tempête qui l'assaille. Une scène qui n'est pas sans rappeler le dernier Dead Space. Et ce n'est pas qu'une simple coïncidence. LP3 mise énormément sur son ambiance qui se veut angoissante. Jim n'est qu'un simple humain et les premières rencontres avec les Akrids vous font rapidement comprendre qu'il va falloir être vigilant et réactif pour survivre. Après quelques péripéties qu'on vous laisse le soin de découvrir, vous parvenez à rejoindre la base de la société NEVEC, le seul lieu vraiment sécurisé sur E.D.N. III. Un endroit qui revêt d'ailleurs une importance particulière au cours de l'aventure. C'est ici qu'ont lieu les échanges directs entre les différents protagonistes, des dialogues qui permettent aux personnages de prendre forme et, par extension, au scénario d'avancer. Mais ce lieu sûr est avant tout une sorte de hub au sein duquel vous êtes amené à évoluer librement entre chaque mission. Vous pouvez notamment vous y procurer des armes et des munitions en échange de la monnaie locale, la fameuse thermo-énergie. Mais c'est aussi à partir de cette base que vous avez accès à tous les lieux visités par le passé. Retourner sur vos pas vous permet de découvrir de nouvelles zones, bloquées au moment de la phase d'exploration initiale, ou encore de collecter de la thermo-énergie, grâce aux objets récupérés par Jim au cours de ses pérégrinations. On pense par exemple au grappin... voilà qui devrait parler à ceux qui aiment finir les jeux à cent pour cent.


Mais ce n'est pas tout puisque le studio de développement, Spark Unlimited, a évoqué et exposé la possibilité de transformer votre Rig – un énorme mecha puissant et résistant – en plate-forme de forage. Vous l'aurez compris, le but est d'extraire de la thermo-énergie, décidément au cœur de l'expérience. Une action qu'on peut effectuer librement, à partir du moment où la zone dispose de cette précieuse ressource. Il faut toutefois savoir que le Rig, version foreuse infernale, attire les Akrids. Concrètement, cela signifie que des vagues d'ennemis ne cessent de vous agresser tant que vous n'avez pas terminé votre petite affaire. Et bien évidemment, la menace devient de plus en plus grande avec le temps. Si les bestioles n'hésitent pas à vous attaquer frontalement, leur objectif commun reste toutefois de détruire le Rig. Une jauge de dégât vous indique donc en permanence l'état de l'engin. Du coup, il vous faut veiller autant à votre santé qu'à celle de votre petit mecha. Notez d'ailleurs qu'en plus d'améliorer l'équipement de Jim, la thermo-énergie récoltée peut aussi servir à booster les capacités de votre robot. Vous pouvez notamment acheter de nouvelles attaques très utiles puisque vous aurez, de temps à autre, à vous défendre contre d'énormes Akrids à bord du Rig.


Bien entendu, rien ne vous empêche de poursuivre l'aventure de manière linéaire. Dans ce cas-là, l'expérience prend un accent plus classique. On se contente de suivre les objectifs fixés à la manière d'un TPS « normal », le jeu se montre alors plus directif. D'après ce que l'on a vu, les missions devraient se découper en deux phases. La première consiste à sortir de la base à bord du Rig (en vue subjective) et à se balader dans des zones ouvertes mais peu vastes et la seconde à quitter votre précieux mecha pour aller effectuer la sale besogne à pied, dans des grottes sombres et occupées. Le jeu vous fait d'ailleurs nettement ressentir la différence qui existe entre être en sécurité à l'intérieur du robot et se balader seul au sol. Bien entendu, les développeurs prennent un malin plaisir à régulièrement vous faire descendre du Rig. C'est notamment le cas lorsque vous devez explorer une grotte de fond en comble pour effectuer une tâche donnée. Le level design propose alors une suite de couloirs étroits, de quoi permettre aux développeurs de jouer sur des effets de réalisation afin d'accentuer l'angoisse du joueur et de proposer de nombreux scripts souvent assez grossiers. A ce moment-là, le jeu bascule donc en mode TPS pur. Les combats se font nombreux contre des Akrids plus ou moins résistants et puissants. Maîtriser les roulades sur le côté devient rapidement nécessaire pour faire face aux ennemis les plus forts. Pour le reste, shooter et balancer des grenades suffit amplement. Le jeu vous prend de toute manière par la main, on ne se sent pas perdu ou démuni face à l'adversité, du moins pendant l'extrait que nous avons pu jouer. Le mélange entre exploration à bord du Rig ou à pied et phases orientées action est agréable. Spark Unlimited maîtrise son sujet sans se montrer pour autant hyper inspiré. On se laisse porter sans déplaisir par l'aventure. A noter cependant que le jeu reste dans l'ensemble assez moyen d'un point de vue technique (notre version tournait sur Xbox 360).

Côté multi, le constat est nettement moins réjouissant. Et ce, même si le contenu s'annonce assez dense. Au programme, on trouve quatre modes de jeu différents dont deux seulement nous ont été dévoilés. Le premier est un mode Survie (Akrid Survival en VO) qui met aux prises deux équipes. Chacune d'entre elles doit tout d'abord agir dans son coin et éliminer les Akrids débarquant par vagues successives. Dans un second temps, l'objectif est d'occuper le plus longtemps possible une zone située au centre de la map. A ce moment-là, le jeu bascule en mode PvP, dans le sens où la bataille ne vous oppose plus aux Akrids mais aux joueurs adverses. Ce qu'il faut savoir, c'est que l'équipe qui élimine le plus rapidement les bestioles qui lui sont balancées au départ, débarque avec de l'avance dans la zone centrale et prend donc un avantage certain sur la victoire finale. Pour résumer, il s'agit donc d'une sorte de course débouchant sur de la capture de zone basique. Évidemment, en fonction des cartes, les ennemis ne seront pas les mêmes. Le second mode se nomme Scénario. Il voit s'opposer deux équipes sur des cartes qui possèdent leurs propres règles et objectifs. A titre d'exemple, des attaquants devaient aider un véhicule à traverser une carte alors que les défenseurs avaient pour consigne de les en empêcher. Après avoir enchaîné les parties, on sent que le multi est en complet décalage avec le reste du jeu. Le gameplay, clairement pensé pour la campagne solo, se prête mal à une expérience compétitive à plusieurs. Ainsi, la lenteur des déplacements des personnages, et même leur animation en général, casse complètement la dynamique des matchs. Et ce n'est qu'un exemple. Bref, les affrontements tournent vite au pugilat sans grand intérêt et on se demande bien qui va passer plus de deux heures en ligne en compagnie de Lost Planet 3.
 
Release Name: Lost.Planet.3.XBOX360-iMARS

Hébergeur : Multi
Plateforme : Xbox 360
Format : ISO
Langue : Multi
Découpé avec : WinRar
Nombre de fichiers : 8 + 1
Taille des fichiers : 1023 Mo + 150 Mo
Taille totale : 8,14 Go
LT3.0
XGD3 : OUI
AP2.5: OUI
Region: FREE

Mot de passe d’extraction pour tous les .rars : Xtrem



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3 commentaires:

Anonyme a dit…

Salut Xtrem, dite, le beux est til compatible avec un xbox ntsc-j pask g pas trop envi de tomber sur du ntsc-u!!! Merci

Xtrem a dit…

comme c'est noté Region : Free donc il passe sur tous les Xbox 360

Anonyme a dit…

merci beacoup :) je le telecharge de suit et merci, vous fezié du bon travail!!

:)) ;)) ;;) :D ;) :p :(( :) :( :X =(( :-o :-/ :-* :| 8-} :)] ~x( :-t b-( :-L x( =))

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